Recette pour une fête de la citrouille réussie

Le 11 novembre dernier, dans le cadre des « petits moments du Vexin », était annoncée une fête de la citrouille au jardin partagé d’Hardricourt. La grande organisatrice de ce moment, Isabelle Outrebon nous communique la recette qui a conduit à réussir ce petit moment.

Prenez 5 kg de potiron (si possible du jardin partagé mais les potirons offerts étaient aussi bienvenus), 2,5 l de lait, 5 litres d’eau, 5 gousses d’ail, 500g de crème fraiche et autant de beurre.

Le 10 novembre, réunissez dans la sympathique cuisine de Fabiola et d’Hervé, Michel, le super cuisiner, et tout un tas de petites mains habiles à couper, tailler, n’est-ce pas, Monique ?

Faire cuire le potiron dans l’eau salée et aillée en utilisant 2 grosses gamelles, ajouter ensuite le lait et continuer la cuisson pendant ¾ d’heure en enlevant les gousses d’ail. En fin de cuisson, mixer et ajouter le beurre, la crème et du poivre. Puis, préparer des feux au jardin partagé pour réchauffer la soupe le lendemain, en espérant que la pluie annoncée nous épargne.

Le matin du 11 novembre, participer aux cérémonies du 100ème anniversaire de l’armistice de la guerre 14-18 et, une fois bien mouillés, se rendre compte que non, décidément, les prévisions météorologiques ne s’étaient pas trompées et que le petit moment du Vexin ne pouvait pas avoir lieu dehors… Bénéficier de la compréhension du maire d’Hardricourt et transformer ce moment en un sympathique partage d’une soupe bien chaude avec les participants au pot qui suivait la cérémonie dans la grande salle de la mairie, tout en dégustant les délicieux gâteaux au potiron réalisés par Sylvia dans son atelier de « Mets en Seine » … En profiter pour découvrir de nouveaux futurs jardiniers et, dans l’après-midi, accueillir, quand même au jardin partagé, quelques visiteurs que la pluie n’a pas découragés, en particulier un groupe d’enfants venus de Cergy avec leurs animateurs, heureux de déguster les dernières tomates cerises et de faire connaissance avec Tim et Tom, nos deux épouvantails.

Le mot de la fin revient à Maloé, 10 ans : « Moi, j’ai bien aimé » !